Mais beaucoup de pays africains sont encore attirés par l’illusion d’une énergie moderne et propre. Il projetait de construire six à huit nouveaux réacteurs d’une capacité totale de 9 600 MW pour un budget d'environ 70 milliards d’euros[3]. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Les principales missions du NESCA sont d'entreprendre et de promouvoir les recherches et le développement dans le domaine de l'énergie nucléaire et des technologies liées; traiter et stocker le matériel nucléaire; et coordonner les autres organisations de ce domaine. La dernière modification de cette page a été faite le 19 avril 2021 à 16:08. L'utilisation de l’énergie nucléaire en Afrique se limite actuellement à l'Afrique du Sud qui est le seul pays du continent à disposer d'une centrale nucléaire en fonctionnement, mais plusieurs contrats signés à la fin des années 2010 par des pays africains permettent d'en prévoir une croissance importante dans les années à venir. A la veille de la Seconde Guerre mondiale, le Congo belge … Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle appartient et est exploitée par le fournisseur national, Eskom. Mais, elle pourrait être une source d’énergie pour la plupart des pays africains. À noter que le Soudan possède la troisième plus grande réserve d'uranium au monde[17]. https://lenergeek.com/2017/02/03/quel-avenir-pour-le-nucleaire-en-afrique Plusieurs projets de développement nucléaire sont actuellement en cours sur le continent africain. Dix Etats africains ont annoncé clairement leurs intentions de se doter de centrales nucléaires. Le 12 mars 2018, une délégation soudanaise se rend en Russie pour définir un plan de route pour la transformation de la station flottante du port de Bachayer, sur le Nil, d'une petite capacité de 150 mégawatts, et fonctionnant à l'énergie nucléaire[17]. La République démocratique du Congo a été le premier pays africain à se doter d’un réacteur nucléaire en 1959. Ce projet a été abandonné en septembre 2010[6]. En mars 2009, le gouvernement congolais signe avec le groupe nucléaire français Areva un accord donnant à cette société le monopole sur l’exploration et l’exploitation de l’uranium sur l'ensemble du territoire de République Démocratique du Congo, dont le gisement de Shinkolobwe[11]. Ces deux pays disposent chacun chacun d'un nouveau réacteur nucléaire « en cours » de construction : Angra 3 au Brésil (le chantier, arrêté depuis 2015, pourrait reprendre fin 2020) et Carem 25 en Argentine. Le premier réacteur nucléaire du Kenya devrait être achevé en 2027, tandis que l'accord intergouvernemental de 2019 entre l'Ouganda et ROSATOM pour aider à … Convertis en kWh, qui est l’unité que l’on utilise pour mesurer notre propre consommation électrique, on obtient alors 8 760 000 000 kWh . «L'Afrique du Sud veut aussi exporter son savoir-faire dans la région», confiait David Fig, un expert nucléaire sud-africain, à Inter Presse Service le 29 août 2011. Le projet de mine d'uranium de Trekkopje est gelé par Areva depuis 2012 et n'est jamais entré en production[9]. En 1961, le site de Pelindaba, à l'ouest de Pretoria, est choisi pour accueillir le premier réacteur nucléaire de recherche du pays. Le pays possédait également un programme militaire secret pour la South African Defence Force, abandonné par la ratification du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires avant l'arrivée au pouvoir du Congrès national africain. En conséquence de ses efforts, le Ghana acquit un réacteur nucléaire soviétique en 1964, mais l’exploitation en fut stoppée en 1966 (Adeniran 1981). Bien qu’il ne s’agisse pas du seul réacteur nucléaire à haute température et refroidi par gaz conçu dans le monde, le projet sud-africain est considéré, au plan international, comme un favori. Le programme de recherche et développement nucléaire sud-africain débute en 1959. Un important gisement d'uranium, le gisement d'uranium d'Imouraren au sud d’Arlit, n’est lui toujours pas exploité, pourrait produire près de cinq-mille tonnes d'uranium métal par an pendant trente-cinq ans[5]. Le Gabon a la particularité d'abriter un réacteur nucléaire naturel, le réacteur d'Oklo qui aurait fonctionné il y a environ deux milliards d'années[1]. A l’horizon 2025, au moins cinq pays africains en … Ces réacteurs fournissent aujourd'hui 17 % de l'électricité mondiale, soit une puissance installée de 378 GW. "La RDC a une riche expérience en matière nucléaire parce qu'elle fut le premier pays africain à se doter d'un réacteur nucléaire dès le 6 juin 1959.
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