Elle vient mettre fin à la succession des dynasties qui scandait l’histoire chinoise depuis plus de deux millénaires. Aujourd’hui, la République Populaire de Chine est la deuxième puissance commerciale du monde et la seule à pouvoir contester l’hégémonie américaine. La République populaire de Chine: R.P.C La République populaire de Chine est le nom exact de la Chine depuis sa proclamation par Mao Zedong le 1er octobre 1949. En 1937, il envahit la partie orientale du pays, ouvrant la voie à huit ans de guerre. La nouvelle traversant la Chine, la révolution chinoise de 1911 est lancée. Aujourd'hui, la République Populaire de Chine est la deuxième puissance commerciale du monde et la seule à pouvoir contester l'hégémonie américaine. La république de Chine. Étant officiellement la continuation directe de la Première République, il continue de réclamer la pleine souveraineté sur l'ensemble du territoire chinois, mais ne parvient pas à en retrouver le contrôle. La démocratisation continue, les taiwanais de souche investissant de plus en plus la politique du pays, amenant davantage de représentativité, les divergences n'en disparaissent pas pour autant. Rapidement tout le sud de la Chine se révolte contre le gouvernement impérial. En 1919, le Japon fait accepter à la conférence de paix de Paris ses visées sur l'ancienne concession allemande du Shandong, après avoir conclu un traité secret en ce sens avec le gouvernement chinois, alors dominé par la faction de Duan Qirui. Puyi y est à nouveau proclamé Empereur, tout en restant sous le contrôle du pouvoir japonais. De nos jours, la « république de Chine » existe donc encore, à Taïwan, et se pose la question de son existence en tant que future province de la république populaire de Chine ; en tant qu'entité étatique non reconnue de la république de Chine[14] (statu quo) ; ou en tant qu'État de la « république de Taiwan » réclamant une reconnaissance d'État. Cet article concerne l’histoire de la République de Chine. La république populaire de chine par Gilles Guiheux aux éditions Belles Lettres. Un gouvernement collaborateur dirigé par Wang Jingwei avec le soutien des Japonais revendique à partir de 1940 le nom de république de Chine. Une réforme agraire réussie puis un développement économique rapide et soutenu pendant la deuxième moitié du XXe siècle ont transformé Taïwan, l'un des quatre tigres asiatiques[pas clair] en un pays industrialisé développé jouissant d'un niveau de vie élevé. Le parti continental du Kuomintang, installé sur Taïwan, reste longtemps le parti unique, et l'appellation chinoise de « république de Chine » est encore de nos jours le nom officiel du régime de Taïwan. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction ou téléchargez la version eBook. À partir de 1940, le Gouvernement national réorganisé de la république de Chine, créé par Wang Jingwei au service des Japonais, dispute la légitimité au gouvernement du Kuomintang, dont il usurpe le nom et l'emblème. La « nécessité » de ces bombardements pour faire capituler le Japon est discutable et discutée. Les Européens prennent une avance technique considérable grâce à la mécanisation, à l'artillerie, à l'organisation de leurs banques et à l'idéologie capitaliste d'initiative commerciale. Mais la réalité des faits, et la volonté de se dissocier de l'état communiste de la république populaire de Chine, actrice de la répression de Tian'anmen conduit taiwanais de souche et certains immigrés chinois à militer en faveur de cette officialisation de l'indépendance, le PDP se montrant officieusement favorable à ceci, sans trop se mouiller. Élimination des bases communistes en Chine du sud-est et Longue Marche vers le nord-ouest de 1934 à 1935. Avec l'élection du candidat du PDP Chen Shuibian à la présidence, en 2000, devenant ainsi le premier président hors KMT, l'idée d'indépendance et de fin de la « république de Chine » est renforcée, mais le KMT et la Chine populaire s'opposent vivement à cette idée, et la réaction s'organise. Mais une partie du KMT souhaite un raffermissement, et Li Tenghui nomme donc Hao Bocun -un militaire- au poste de Premier ministre, créant une réaction populaire, qui affaiblit donc la ligne dure du KMT, et légitime la modération de Li Tenghui. Mais la nouvelle République sombre dans l'instabilité politique dès ses premières années : les révolutionnaires ont dû céder la présidence de la République à Yuan Shikai, en 1913, chef de l'armée, en échange de son soutien. Le procès qui suit, avec l'accusation de leaders tel Annette Lu, les mit durablement en lumière, et permit l'apparition d'avocats brillants, tel Chen Shui-bian, et lance un soutien populaire envers les leaders restant éligibles: Su Zhengchang, Xie Zhangting, Cheng Shui-bian élus en 1980. Le pouvoir était divisé en trois pouvoirs, où la population devait normalement contrôler selon les prévisions de Sun Yat-Sen, mais à cause de l'hyperinflation et de la corruption, n'existait plus. En 1983, une « Amicale des Hors parti » est créée, se comportant comme des permanences de parti politique, mais sans enfreindre les points de la loi anti subversion. L'Union soviétique a également hâté la reddition japonaise en envahissant la Mandchourie, dont elle laisse ensuite le contrôle au Parti communiste chinois. Un manuel d’histoire de la Chine. Cf. Li Tenghui (ou Lee Teng-hui), taiwanais de souche, continue l'ouverture entreprise, insuffle au KMT une direction progressiste qui fait le jeu des réformes et de l'opposition, Li Tenghui se plaçant en médiateur entre les conservateurs du KMT et les réformateurs populaires du PDP. Le Kuomintang se divisa (02/1989) et les étudiants se lancent alors dans des sittings pacifistes pour la démocratie, pour l'élection présidentielle au suffrage universel, et pour la démission des vieux parlementaires en poste depuis 1947. 432 p. (Coll. La révolution de 1911-1912 n’a pas pour seule conséquence de renverser les Qing. La république de Chine (chinois : 中華民國, pinyin : Zhōnghuá Mínguó) est l'appellation du régime qui a dirigé la Chine à partir de 1912[1] après la chute du régime impérial (qui dirigeait le pays depuis 221 av. Elle est la première à imprimer des livres (1041, inventio… À sa mort commence une nouvelle période d'instabilité : c'est la période dite des « Seigneurs de la guerre ». Le Kuomintang signe des accords avec la Chine continentale. Alors que la Chine est en effervescence politique, tant dans les hautes sphères que dans les regroupements de partisans libéraux et républicains, des groupes armés, secrets, s'organisent un peu partout. Le renouveau est rendu possible par la défaite sur le continent : les liens sont coupés. Un autre point décisif est la réforme agraire de Chen Cheng (1949), pour que les paysans taiwanais soient insensibles à la propagande communiste, le Kuomintang permet ici de répartir les terres agricoles entre les paysans, affaiblissant du même coup les grands propriétaires taiwanais (tout de même indemnisés). Le 14 octobre 1987, la loi martiale est levée par Chiang Ching-kuo, la censure de la presse est levée en janvier 88. Il demeure cependant chef de l'armée et la politique expansionniste du Japon le fait bientôt apparaître comme un chef militaire indispensable. Son échec, rapidement suivi de son décès, laisse la Chine sans gouvernement central fort. Les communistes doivent fuir à travers le pays, dans l'épisode dit de la Longue Marche, au cours de laquelle Mao Zedong émerge comme chef incontesté du parti. La guerre froide, et tout particulièrement la guerre de Corée, permettent au régime du Kuomintang de se positionner à nouveau en allié incontournable des États-Unis en Asie. Mais Yuan Shikai, maître des principales forces armées de la dynastie, parvient à s'imposer comme arbitre. En octobre 1911, déçus les nationalistes chinois déclenchent une révolution dans le Hubei. La république de Chine a développé, avec l'aide de l'URSS puis des États-Unis, une armée, l'Armée nationale révolutionnaire du Kuomintang, une force d'environ 4 millions d'hommes. L'avènement de la république populaire de Chine suit une période chaotique d'une centaine d'années, marquée par la domination de la Chine par des puissances étrangères, … À la mort de Sun Yat-sen en 1925, le Kuomintang doit affronter une incertitude quant à sa succession : le général Tchang Kaï-chek fait partie des chefs émergents du parti. À la fin 1936, Zhang Xueliang séquestre Tchang Kaï-chek pour le contraindre à conclure avec les communistes une trêve, aboutissant à un front commun contre les Japonais : c'est l'Accord de Xi'an, qui donne naissance au deuxième front uni chinois. Aujourd’hui, la République Populaire de Chine est la deuxième puissance commerciale du monde et la seule à pouvoir contester l’hégémonie américaine. En héritant officiellement de l'empire Qing dépecé par les pays étrangers (Royaume-Uni, France, États-Unis, Japon, Russie, Allemagne) qui y ont des zones d'influence et des concessions extraterritoriales, la Chine a abandonné de nombreux comptoirs, de nombreux « vassaux » (Corée, Viêt Nam), la côte nord-est de l'embouchure du fleuve Amour (Heilongjian) à Vladivostok cédée à la Russie en 1858, et les îles du Pacifique telles Taïwan et les Pescadores cédées au Japon en 1895. entre autres, COUSSIRAT-COUSTERE Vincent, Idem, p.110, en : « 15 articles de fond [...] : « La question de la reconquête du continent », « Notre armée », « Nos finances », « Notre économie », « La question de l'aide américaine », « Grande organisation, petite zone d'influence », « Notre système politique central », « Notre système politique local », « Le Yuan législatif aujourd'hui », « Notre liberté d'information », « La question de l'Organisation de la Jeunesse anticommuniste », « Les problèmes de notre enseignement », « Les idéaux politiques et la réalité de ces dernières années », « La question du pluripartisme » » parut dans, Idem, p. 112 : Xu Shixian, et Li Wanju, Guo Guoji, Wu Sanlian, Li Yuanzhan, Guo Yuxin, appelé « Le phœnix et les 4 dragons », Ces personnages « sans étiquette » évitaient ainsi la répression contre les partis opposants et la « Loi contre la subversion », Histoire de Taiwan, p.145, Cette assemblée nationale, représentant l'ensemble de la Chine de 1949, été en grande partie constitué par les parlementaires en poste en Chine continentale en. Des voix s'élèvent pour demander la clarification de ce statut en faveur de la déclaration d'un état taiwanais, purement insulaire, reflétant l'état de fait, et qui abandonnerait donc l'appellation de « république de Chine » pour quelque chose du type « république de Taïwan ». A l’exception du R.U. Pendant quelques mois, trois gouvernements se disputent la légitimité : celui de la faction de Tchang à Nankin, celui de Wang Jingwei à Wuhan, et celui de Zhang Zuolin à Pékin, soutenu par les Japonais. En 1971 après la perte de son siège aux Nations unies au profit de la république populaire de Chine, la république de Chine revendiquait toujours la souveraineté sur l'ensemble du territoire chinois. Mais les communistes continuent leur avancée et les armées nationalistes subissent revers sur revers. Une histoire de la Chine depuis 1949, prenant en compte l'historiographie des dernières décennies comme l'actualité récente. Présentation Les révolutionnaires doivent prendre précipitamment les armes et l'emportent finalement dans cette ville : c'est le soulèvement de Wuchang (武昌起義 wǔchāng qǐyì) du 10 octobre 1911. Sun Yat-sen se fera écarter entre 1919 et 1921 par Cen Chunxuan, ex-vice-roi du Liangguang (actuel Guangdong et Guangxi). Dès 1935, il prend la tête du gouvernement. Le régime prend à partir de 1928 l'aspect d'une dictature militaire dominée par Tchang Kaï-chek qui demeure chef de l'armée, y compris dans les périodes où il n'est pas officiellement chef de l'État ou du gouvernement ; le Kuomintang est parti unique et les institutions sont encadrées par une constitution provisoire. En 1937, le Japon envahit le reste de la Chine, déclenchant un nouveau conflit, particulièrement sanglant, qui s'intègre à partir de 1941 au théâtre asiatique de la Seconde Guerre mondiale. Sun Yat-sen ne sera président que pour un an, et Song Jiaoren, un autre membre du Kuomintang, mouvement révolutionnaire de Sun Yat-sen, sera élu président. L'importante aide américaine (1951-1965) permet au Kuomintang de poursuivre facilement la politique de modernisation entreprise sous le gouvernorat japonais. Elle vient mettre fin à la succession des dynasties qui scandait l’histoire chinoise depuis plus de deux millénaires. Mais en 1986, la décision est prise de se faire dénommer désormais Parti démocrate progressiste (ou Minjindang), un défi lancé au Kuomintang, et Chiang Ching-kuo répondit en déclarant « Les temps changent, le contexte change, les grandes tendances changent », encourageant à la réforme du Kuomintang. Marie-Claire Bergère, Lucien Bianco et Jürgen Domes. En 2004, Chen Shuibian est réélu, mais ne parvient pas à imposer ses vues indépendantistes à la population qui, majoritairement, se satisfait d'un statu quo pacifique qui permet la stabilité et la prospérité économique de l'île. Les Japonais prennent le contrôle de la Mandchourie : l'État-client du Mandchoukouo est créé sur son territoire. Le régime de la « république de Chine » n'est présent que sur l'île de Taïwan et quelques autres petites îles des environs[6], mais continue à prétendre une souveraineté sur l'ensemble de la Chine. Sun Yat-sen ne sera président que pour un an, et Song Jiaoren, un autre membre du Kuomintang, mouvement révolutionnaire de Sun Yat-sen, sera élu président. En mars 2005, la Chine populaire rationalise et officialise sa position par les 10 points de la Loi anti sécession chinoise de 2005. La civilisation chinoise est puissante, son armée est munie d'une redoutable flotte militaire, son commerce extérieur est prospère , elle est le premier producteur de fer et l'industrie du charbon se développe fortement . pouvoir législatif, contrôlé par le Kuomintang ; pouvoir exécutif, n'existant pas durant l'époque des Seigneurs de guerre ; La dernière modification de cette page a été faite le 29 avril 2021 à 18:11. En 2005, l'île compte environ 23 millions d'habitants sous la responsabilité de la république de Chine. Le parti continental du Kuomintang, installé sur Taïwan, reste longtemps le parti unique, et l'appellation chinoise de « république de Chine » est encore de nos jours le nom officiel du régime de Taïwan. Sun Yat-sen, chef du Kuomintang, établit un gouvernement militaire à Canton dans le but de rétablir l'ordre en Chine, mais n'obtient pas de reconnaissance internationale, étant uniquement soutenu par l'Union soviétique. Le 14 janvier 2012, Ma Ying-jeou est réélu à la présidence et le Kuomintang prend une majorité de 64 sièges sur 113 au parlement. À propos des avis consultatifs du 8 juillet 1996 de la Cour internationale de Justice », Taïwan : la présidente sortante remporte l’élection face à son rival pro Pékin, LeMonde, 12 janvier 2020, Relations entre la Chine et les États-Unis, République populaire de Chine (depuis 1949), Planification en république populaire de Chine, Campagnes des trois anti et des cinq anti, Accord en 17 points sur la libération pacifique du Tibet, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Histoire_de_la_république_de_Chine&oldid=177565793, Histoire de la Première République chinoise, Catégorie Commons avec lien local différent sur Wikidata, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:République populaire de Chine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. En 1912, avec la proclamation de la République, la Chine bascule dans une ère foncièrement nouvelle. Lors de l'élection présidentielle taïwanaise de mars 2008, Ma Ying-jeou, candidat du Kuomintang est élu à la présidence. En 1949, quand les communistes s’emparent du pouvoir après deux décennies de guerre civile, la Chine était l’un des pays les plus pauvres de la planète. La période 1945-1949 est particulièrement difficile. Yuan Shikai tente de se faire proclamer Empereur de Chine : la cérémonie officielle ne peut avoir lieu, et il meurt peu de temps après. L’histoire de la république de Chine débute avec la chute de la dynastie Qing et la formation d'une république constitutionnelle en 1912. Chiang meurt le 13 janvier 1988, et Li Denghui, taiwanais de souche, lui succède. Les conflits internes contre les « seigneurs de la guerre », la création du Mandchoukouo en Mandchourie par le Japon en 1931, puis les conquêtes japonaises de la guerre sino-japonaise de 1937 à 1945 réduisent à chaque fois le territoire républicain. 1979 est un pas de plus dans le sens des « Hors parti », des incidents éclatèrent (l'Affaire Formosa). À la suite de la reddition japonaise, les troupes gouvernementales chinoises investissent le nord de l'Indochine française, pour participer au désarmement des Japonais présents dans le pays. À partir de 1969, des réformes permettent de timides percées de l'opposition aux législatives de 1972, mais surtout de 1975, puis de 1977 et sa participation record, marquée par l'émeute de Zhongli, et les « Douze grands travaux politiques » de leur programme commun. Elle vient mettre fin à la succession des dynasties qui scandait l’histoire chinoise depuis plus de deux millénaires. S'ensuit une période d'instabilité, de soulèvements républicains, de sécessions et de répressions visant notamment le Kuomintang. Des lignes aériennes entre différentes grandes villes du continent et de l'île. Guerre sino-japonaise), impose ses choix à la Chine, qui doit s'ouvrir davantage à l'extérieur et payer des indemnités de guerre. Les spécificités du développement économique de ce pays depuis les années 1980 sont notamment exposées. T ale – HISTOIRE (16), la Chine de Mao : l’affirmation d’un nouvel acteur international. La République Populaire de Chine (RPC) a hérité lors de la prise de Pékin (1949) d’un territoire ruiné par la Seconde Guerre mondiale (1937 en Asie – 1945) et d’une population cruellement éprouvée par 8 années d’une guerre inexpiable (20 millions de morts). La Dynastie Qing (1644-1911) n'arrive plus à faire face et ne parvient plus à garantir l'intégrité du territoire de l'Empire. Le Japon continue sa politique expansionniste et multiplie les opérations pour étendre son influence, soutenant notamment les indépendantistes de Mongolie-Intérieure. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Durant cette période, Tchang Kaï-chek affirme son autorité sur le parti : en 1927, inquiet de voir les communistes gagner en influence, il rompt l'alliance et déclenche la purge du parti, dont le début est marqué par le massacre de Shanghai en avril. LA RÉPUBLIQUE DE CHINE En 1912, avec la proclamation de la République, la Chine bascule dans une ère foncièrement nouvelle. Yuan Shikai réalise un coup d'État en 1913 et tente de rétablir l'empire à son profit ce qui déclenche la guerre de protection de la nation. De 1945 à 1948, Mao reprend progressivement toutes les campagnes de Chine. Le 11 novembre de la même année, il est mis en examen pour corruption et arrêté[15]. 1912 Proclamation, le 1 er janvier à Nankin, de la République chinoise par Sun Yat-sen. Il est condamné par la justice taïwanaise à la réclusion criminelle à perpétuité[16] et doit en outre verser une amende de 200 millions NT$. Le Parti communiste chinois (PCC), créé en 1921, est allié au Kuomintang et, sur les conseils des soviétiques, ses membres pratiquent souvent la double appartenance au PCC et au KMT. Mais les communistes ont créé de nombreuses zones autonomes, qui finalement refoulent le Kuomintang et la République hors du continent. Le Japon contrôle la partie orientale du pays mais échoue à briser les enclaves nationalistes à l'ouest : le conflit s'enlise. En 1931, ils créent dans le Jiangxi l'enclave de la République soviétique chinoise. Il s'affirme notamment grâce à la création de l'Armée nationale révolutionnaire, une puissante force armée mise sur pied avec l'aide des soviétiques. (pour veut conserver Hong-Kong), tous les pays occidentaux refusent de reconnaître la Chine Populaire et installent leur ambassade à Taïwan. La dernière modification de cette page a été faite le 12 décembre 2020 à 23:05. Elle contrôle tout le sud de la Chine. Mais au XIXe siècle, l'Empire chinois se voit dramatiquement dépassé par les puissances occidentales et leur dynamisme capitaliste, colonial et militaire. Nationalistes, communistes et seigneurs de la guerre régionaux affrontent l'envahisseur mais subissent d'importantes défaites en 1937 et 1938.
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