La couverture de ces déficits s’est faite au cours des dernières décennies par le recours aux ressources du Fonds de Régulation des Recettes (FRR) en premier lieu et ensuite les tirages sur les comptes des entités publiques. La dette publique de l’Algérie a augmenté de 5,8%, passant de 45,6% du produit intérieur brut PIB en 2019 à 51,4% en 2020, a indiqué la Banque mondiale dans son dernier bulletin d’information économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord Mena intitulé « Vivre avec la dette : comment le Algérie En 2017, la dette nationale brute de l'Algérie s'élevait à plus de 27 % du produit intérieur brut, … Pour ce qui est du point 1, la dette publique, parfois également appelée dette souveraine, représente l’encours total de la dette (obligations et autres titres) de l’administration centrale d’un pays. La dette publique de l’Algérie a augmenté de 5,8%, passant de 45,6% du produit intérieur brut PIB en 2019 à 51,4% en 2020, selon le dernier bulletin d’information économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord Mena de la Banque mondiale : « Vivre avec la dette : comment les institutio Algérie Combiné aux disponibilités en RIC d’environ 43,8 milliards de dollars à fin décembre 2020, le gap de financement restant à couvrir sera donc de 41 milliards de dollars sur 3 ans. Au début des années 1980, l'économie algérienne commence à … Selon l’édition 2020 des statistiques sur la dette internationale de la Banque mondiale, la dette publique extérieure de l’Algérie représente 3% du revenu national brut estimé à 177,548 milliards de dollars. La dette extérieure demeure insignifiante avec le taux inchangé de 0.6 % du PIB. C’est ce qu’a annoncé cette semaine, Mohamed Loukal (photo), ministre algérien des Finances, dans un entretien accordé à l’agence de presse APS.. Ces nouvelles dépenses s’affichent en baisse de 9,2% par rapport au budget de l’année 2019. 1804-1827. (iv) une coordination étroite entre les responsables de la politique budgétaire, de la politique monétaire et du secteur réel (public et privé) afin de maintenir l’endettement du secteur public sur une trajectoire durable, viable et crédible. Cet endettement intérieur a toujours pris des formes non orthodoxes, avec un recours à des ressources intergénérationnelles, aux surplus des entités publiques, à une souscription publique en 2015 et depuis 2017 une forte dépendance par rapport aux concours de la Banque centrale. (2)- mise en place de réformes : dans ce cas, elles permettront de réduire les besoins en financement d’un montant cumulatif de 25 milliards de dollars (gains liés aux réformes). Il ressort de son dernier bulletin d’information économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) que cette dette a augmenté de 5,8 points de pourcentage, passant de 45,6% du produit intérieur brut (PIB) en 2019 à 51,4% en 2020. En effet, d’ici la fin de l’année en cours, le déficit budgétaire va dépasser les 15 milliards de dollars ! En effet, la dette de l’Algérie devrait augmenter de 4,7% en 2021, pour s’établir à 56,1% du produit intérieur brut (PIB), pour atteindre 60,5% en 2022 et 65,3% en 2023, selon les prévisions de la Banque mondiale. Évolutions macroéconomiques et financières récentes La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur l’économie algérienne en 2020. Bloomberg relativise l’étendue de la crise économique en Algérie et souligne que «bien que les réserves de change soient à leur plus bas niveau depuis plus de quatorze ans (…), le pays n’a pratiquement pas de dettes internationales». la dette publique totale de l’algérie est en constante hausse du fait de l’explosion de la dette intérieure depuis 2016, résultat direct de la crise budgétaire. Le déficit du compte courant va se creuser en s’établissant à -13,4% du PIB en 2020, à -15,7% en 2021 et à -14,6% en 2022. En contrepartie, l’Algérie devait recevoir un taux d’intérêt d’au moins 1% alors que les taux d’intérêt internationaux étaient négatifs. Dans le détail, l’encours de la dette extérieure à long terme de l’Algérie est estimé à La dette extérieure demeure insignifiante avec le taux inchangé de 0.6 % du PIB. L’institution de Bretton Woods a indiqué que la croissance annuelle moyenne du PIB réel a atteint 3,3% entre 2010 et 2016, avant de retomber à 1,1% après 2017, entraînant une croissance négative du PIB par habitant. L’année 2020 s’annonce compliquée sur le plan économique. En effet, le contre-choc pétrolier de 1986 a porté un coup dur à une économie quasiment rentière, c'est la période des plans anti-pénurie et de stabilisation. (i) D’une stratégie à moyen et long terme qui offre à la population algérienne et au monde entier la visibilité économique à moyen et long terme nécessaire ; Soit une hausse de 5.8 points par rapport à 2019 où elle s'était établie à 45,6% du PIB, indique le rapport de l'institution de Bretton Woods. Lancement d’un programme de logements LPA, sous une nouvelle formule en... CNR : Pas d’augmentation des retraites en 2018. Ce dernier précise qu’Alger s’endettera auprès des institutions régionales et internationales dont il est membre dans le but de financer des projets stratégiques. La situation des paiements extérieurs est alors devenue intenable et, en avril 1994, l’Algérie a demandé un rééchelonnement global de sa dette à ses créanciers bilatéraux officiels et commerciaux dans le sillage d’un programme de réformes conclu avec le FMI. En conséquence, le ratio financement monétaire/PIB s’accroît de plus en plus (environ 25% du PIB), adossé à des titres à longue échéance (jusqu’à 30 ans) et à faible taux d’intérêt (0,5%). De son côté, la dette extérieure publique du voisin de l’Est s’est établie à 59,3 % du PIB en 2020. Par ailleurs, la BM a fait savoir que la dette interne de l’Algérie est estimée à 50,8% du PIB en 2020 contre 45% en 2019 tandis que la dette extérieure publique est à 0,6% du PIB. PIB courant et la dette publique. Concepts de base et implications macroéconomiques de la dette publique. Elle représentait 49,5 % du PIB en 2019. Le déficit du compte courant va se creuser en s’établissant à -13,4% du PIB en 2020, à -15,7% en 2021 et à -14,6% en 2022. Cliquez pour plus. Ainsi, la dette extérieure publique de l'Algérie représente 1,06% du PIB du pays, précise la même source. Registration confirmation will be emailed to you. In fine, ce mix de ressources internes et de ressources externes incontournable demande une préparation minutieuse des dossiers et la construction d’éléments de référence qui inspirent confiance aux créanciers nationaux et étrangers sur le titre Algérie. Les experts prédisaient le recours de l’Algérie au Fonds monétaire international (FMI) en 2022, selon des calculs basés sur la balance entre les réserves de change, qui fondent comme beurre au soleil, et les dépenses et les besoins en constante croissance des Algériens. Bien entendu, le gros de la dette algérienne est accaparé par la dette intérieure publique (50.8 % du PIB en 2020, 45 % en 2019). L’Algérie est entrée en récession en 2020 suite à la crise de la COVID-19. Ces crânes de victimes des massacres commis par l’armée coloniale entre 1849 et 1854 avaient été transférés en France comme des trophées de guerre, puis conservés dans des boîtes au Musée de l’Homme à Paris. Toutefois, si la reprise du contrôle de l’endettement extérieur doit être saluée comme une action très positive et judicieuse, elle n’a pas été accompagnés comme cela aurait dû entre le cas d’une politique de diversification de l’économie, d’une stratégie d’attrait des capitaux extérieurs à la mesure du potentiel productif du pays et de la construction d’une plus grande résilience économique du pays. (iii) des indicateurs de dette publique qui inspirent confiance aux créanciers sur la capacité du pays à rembourser ; (iv)- le climat économique du fait des incertitudes pouvant entourer les perspectives économiques du pays et les politiques publiques à articuler. (iii) sa structure (dominée dès 1990 par des crédits fournisseurs à court terme de 1 à 3 ans) ; Covid-19 en Algérie : 201 nouveaux cas, 8 décès et 138... Météo : Activité pluvio-orageuse sur plusieurs wilayas jeudi, Algérie-Eco publie la liste des 851 produits interdits à l’importation. Aux débuts des années 1990, l'Algérie a engagé des réformes structurelles concrétisant ainsi le passage à l'économie de marché. La nuance de couleur du pays correspond à l'ampleur de l'indicateur. L’AVD est un exercice technique pour apprécier la capacité de l’état emprunteur à rembourser cette dette sur le moyen et long terme sans la renégocier ou faire défaut ou avoir à entreprendre des ajustements préjudiciables sur le plan économique et politique pour l’emprunteur. Il a de ce fait dévoilé le montant de la dette extérieure et de la balance commerciale en Algérie à la fin de l’année 2018. Crédit-auto : Le CPA accorde jusqu’à 90% du prix d’acquisition du... La Banque d’Algérie n’en a plus le monopole : Les banques... La commune de Chéraga (Alger) se dote d’un nouveau parc d’attraction... Un mort lors d’une arrestation tendue à Annaba. 2- s’assurer d’une bonne utilisation des ressources empruntées et in fine honorer à échéance due le service de la dette. On apprend à travers le rapport que la dette publique de l’Algérie s’est établie à 51,4 % du Produit intérieur brut (PIB) du pays en 2020, soit une hausse de 5.8 points par rapport à 2019 où elle s’était établie à 45,6 % du PIB. Des besoins de financement importants pour 2021-2023 et leurs implications macroéconomiques. Il prévoit ainsi, une dette publique totale par rapport au PIB de l’Algérie cette année, de 63,3%, contre 53,1% en 2020, et que la dette publique nette totale représentera 60,5%, contre 50,4% en 2020. Si on se projette sur l’avenir immédiat et à la politique publique inchangée, la dette intérieure peut se transformer en un risque macroéconomique majeur qui pourrait compliquer la relance économique du pays (à l’instar de la Grèce entre 2010-2018). Sur un plan plus général, la performance de l’économie algérienne dépendra de la croissance qui devrait rester très faible au cours de l’année à venir. 2020, sera l’année où le déficit budgétaire de l’Algérie va atteindre un record très inquiétant. La dette publique de l'Algérie s'est établie à 51,4% du Produit intérieur brut (PIB) du pays en 2020. Selon l’édition 2020 des statistiques sur la dette internationale de la Banque mondiale, la dette publique extérieure de l’Algérie représente 3% du revenu national brut estimé à 177,548 milliards de dollars. L’économie algérienne s’est fortement contractée en 2020 en raison de mesures visant à contenir la pandémie et une baisse significative de la production d’hydrocarbures, contribuant à une détérioration majeure des déficits, a rappelé la Banque mondiale dans son dernier rapport, en précisant que la performance économique de l’Algérie est en baisse en raison de la stagnation de la production d’hydrocarbures et d’un modèle dérivé du secteur public. Le déficit du compte courant devrait avoir augmenté à 14,4% du PIB et les réserves internationales ont chuté de 24%, à environ 12,8 mois d’importations, selon la Banque mondiale. A l’occasion de la publication d’un communiqué du Premier ministère, traitant l’épineuse question des retraites en Algérie, il est utile de rappeler qu’en 2018, le déficit de la CNR s’élevait déjà à 580 milliards de dinars, et à l’époque on s’est attendu à ce que l’année 2019 le porterait à 600 milliards de dinars.. Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement. La dette publique de l’Algérie a augmenté de 5,8%, passant de 45,6% du produit intérieur brut (PIB) en 2019 à 51,4% en 2020, selon le dernier bulletin d’information économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) de la Banque mondiale : « Vivre avec la dette : comment les institutions peuvent tracer la voie de la reprise dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord ». L’Algérie s’attache également à développer ses relations économiques avec la Turquie comme en témoigne la visite en Algérie du président Erdogan les 26 et 27 janvier 2020. Outre ses consé- quences néfastes sur le plan sanitaire, la pandémie est venue aggraver d’autres facteurs négatifs, tels que la chute du prix du pétrole, ce qui a plongé l’économie algérienne dans la récession. La dette publique de l’Algérie a augmenté de 5,8%, passant de 45,6% du produit intérieur brut (PIB) en 2019 à 51,4% en 2020, a indiqué la Banque mondiale dans son dernier bulletin d’information économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) intitulé « Vivre avec la dette : comment les institutions peuvent tracer la voie de la reprise dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord ». budgétaire global de l’Algérie s’est détérioré, passant de 6,8 % du produit intérieur brut (PIB) en 2018 à 9,6% du PIB en 2019, sous l’effet de la baisse des revenus des hydrocarbures et de l’augmentation des investissements publics, faisant passer le ratio dette/PIB de 38,9 % du PIB, fin 2018, à 44,9 % du … Les données économiques récentes de l'Algérie (Estimation pour 2021). Les 2/3 de l’encours de titres du trésor sont détenus par la banque centrale et le reste par des banques (principalement publiques) et des compagnies d’assurance. Pour le point 2, de nombreuses études internationales ont fait ressortir le rôle positif de la dette publique dans l’accroissement des agrégats demande et production à court terme. A partir de 2020, la situation financière de l’Etat algérien s’approchera plus que jamais de la… faillite ! Vu les urgences de la pandémie qui se poursuivra en partie en 2021, le poids de l’endettement va s’accroître pour atteindre environ 13,300 milliards de DA (59,9% du PIB).Une situation de crise et des perspectives défavorables au vu de nos besoins de financement futurs. Selon des prévisions du Fonds monétaire international (FMI), l’Algérie devrait connaître en 2020 une récession (– 5,2 %) et un déficit budgétaire parmi les plus élevés de la région. Par ailleurs, compte tenu de l’intégration financière limitée de l’Algérie avec le système financier international, une vraie sensibilisation des investisseurs (et non les road shows touristiques du passé) sera particulièrement importante pour expliquer les réformes, les perspectives économiques du pays et le programme du gouvernement. (2)- pour la dette intérieure, le déficit primaire budgétaire qui est calculé comme la différence entre les recettes fiscales et les dépenses primaires de base (salaires, biens et services et subventions et transferts) pour vérifier si le solde primaire permet de couvrir les intérêts de la dette ; En vertu de cet accord, l’Algérie devait transférer 5 milliards de dollars au FMI en cas de requête de ce dernier. se félicitent de cette baisse significative du niveau d’endettement et de l’amélioration des ratios dette : évaluée à 21,4 milliards de dollars fin 2004, la dette extérieure de l’Algérie est passé à 15,5 milliards de dollars fin 2005 et devrait tomber aux alentours de 5 milliards de … Les réserves de change de l’Algérie ne cessent de diminuer depuis la crise pétrolière qui a affecté gravement les ressources en devises du pays. Compteur en temps réel du PIB Algérie. (1)- Absence de réformes : dans ce cas, l’endettement intérieur va s’aggraver dangereusement et sera accompagné d’une pression sur les prix à la consommation et le taux de change, la perte de compétitivité du pays, la baisse de croissance et la détérioration du front social. Les préparations pharmaceutiques ont représenté pour l’Algérie 528 millions d’euros d’importations depuis la France. Le 29 avril, à la suite d’une dispute au sujet d’une dette française impayée, le dey d’Alger convoque le consul de France. Dans le but de tenter de limiter le déficit budgétaire, le gouvernement a en effet fait preuve de beaucoup d’inventivité en matière fiscale. La dette interne de l’Algérie est estimée à 50,8% du PIB en 2020 contre 45% en 2019. Il ressort de son dernier bulletin d’information économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) que cette dette a augmenté de 5,8 points de pourcentage, passant de 45,6% du produit intérieur brut (PIB) en 2019 à 51,4% en 2020. En raison des effets volume et prix, les exportations ont chuté de 37% en 2020, malgré une dépréciation modérée du taux de change, selon le même rapport qui a rappelé qu’au cours des onze premiers mois de 2020, les importations ont diminué de 18% en glissement annuel, avec une contraction prononcée des importations de machines et d’équipements. (4)- l’accord de prêt de l’Algérie au FMI de 2016, renouvelé en 2018 qui a transformé momentanément l’Algérie du statut d’emprunteur à celui de créancier. L’Algérie lève la restriction, imposée depuis 2005, de ne pas recourir à l’endettement extérieur, indique le projet de loi de finances 2020 annoncé par le gouvernement. Trois années précieuses ont été ainsi perdues. La baisse spectaculaire de la dette extérieure reflète quatre grands moments : (1)- la crise de l’endettement extérieur de 1994 : Outre ses consé- quences néfastes sur le plan sanitaire, la pandémie est venue aggraver d’autres facteurs négatifs, tels que la chute du prix du pétrole, ce qui a plongé l’économie algérienne dans la récession. Bien entendu, le gros de la dette algérienne est accaparé par la dette intérieure publique (50.8 % du PIB en 2020, 45 % en 2019). Simultanément, le déficit du compte courant de la balance des paiements atteindrait une moyenne de 16,3% du PIB au cours de la même période. Ainsi, l’Algérie a pu économiser au total près de 16 milliards de dollars de trésorerie, un énorme ballon d’oxygène. Soulèvements tribaux et confrériques à travers toute l’Algérie. (5)- A fin 2020, la dette extérieure devrait atteindre 3,7 milliards de dollars (soit 2,1% du PIB). En conséquence, les besoins de financement prévisionnels de ces déficits jumeaux pour 2021-2023 seront : (1) pour le budget, environ 2200 milliards de DA/an soit 6600 milliards de DA (soit environ 50 milliards de dollars) ; et (2) pour la balance des paiements, environ 60 milliards de dollars. L’endettement pose ipso facto la question de son remboursement et donc de sa viabilité qui est évaluée par un outil principal appelé analyse de la viabilité de la dette (AVD). La dette publique joue un rôle macroéconomique important. La dette publique s’établirait à 61% du PIB et les réserves de changes à 36 Mds USD fin 2020 (soit 8 mois d’importations). (iii) le poids de certaines dépenses courantes ; (i)- leur viabilité compte tenu de la durée de vie des ressources pétrolières et du besoin de consolidation budgétaire (le pays couvre difficilement ses dépenses de base avec les recettes fiscales) ; Pour ce qui est de la dette publique intérieure elle-même, elle est passée de 4958 milliards de DA (26% du PIB) en 2017 à 9301 milliards de DA (soit 46,3% du PIB) en 2019, dont la moitié constitue des garanties du gouvernement central. Cet article va donc commencer par clarifier un certain nombre de concepts de base sur la dette publique, expliquer son impact macroéconomique, passer en revue l’évolution de la dette extérieure et de la dette intérieure et analyser la montée de cette dernière. Do NOT follow this link or you will be banned from the site. La dette publique peut être contractée à la fois à l’extérieur (auprès de créanciers étrangers) et à l’intérieur (obligations du gouvernement envers les prêteurs nationaux). Quelle: CIA World Factbook - Version du Janvier 1, 2020. En effet, sa dette extérieure est actuellement inférieure à 5 milliards de dollars soit moins de 3% du PIB, ce qui lui permet de négocier dans des conditions favorables sur le marché international. En 2020, la dette intérieure devrait atteindre 11,301 milliards de DA (soit 52,4% du PIB). En 1994, l’endettement étranglait le pays vu : (i)- Son poids (70% du PIB) ; La dette interne de l’Algérie est estimée à 50,8% du PIB en 2020 contre 45% en 2019. Ces derniers sont devenus encore plus incontournables depuis les chocs pétrolier et sanitaire de mars 2020. Un total de 110 milliards de dollars. Lors de sa présentation du projet de règlement budgétaire pour l’exercice 2018 devant l’APN, le ministre Benabderrahmane a révélé que la dette extérieure de l’Algérie avait atteint 1 milliard de dollars en 2018, soir 139.1 milliards de dinars. La dette publique de l’Algérie a augmenté de 5,8%, passant de 45,6% du produit intérieur brut PIB en 2019 à 51,4% en 2020, selon le dernier bulletin d’information économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord Mena de la Banque mondiale : « Vivre avec la dette : comment les institutio Algérie 3- Pour le troisième point, une combinaison opportune de prix plus élevés et d’une expansion de la production de pétrole ont permis de dégager un énorme excédent du compte des transactions extérieures (18 % du PIB). En conséquence, la dette publique a une influence importante sur l’économie à court et à long termes. Compteur en temps réel de la population Algérie 2021. La dette intérieure se compose de bons du Trésor et d’obligations, ainsi que de l’encours de la dette achetée à des entreprises publiques. (ii)- le niveau des taux d’intérêt à long terme qui augmenteront et pèseront sur le financement de la croissance ; Dans une dernière partie, l’article va passer en revue les voies et moyens à la disposition du pays pour faire face à ses besoins de financement pour les trois prochaines années. Au contraire, une mesure audacieuse a été amoindrie par l’absence de réformes, continuant à exposer le pays à la volatilité des prix du pétrole mais également des céréales, vu les importations massives de blé dur du pays. La dette publique du pays va augmenter dans les années à venir, selon les prévisions de la Banque mondiale. La hausse des prix du pétrole a davantage renforcé le niveau des RIC, permettant d’atteindre 9 mois d’importations et un ratio service de la dette/ recettes d’exportation totales de 30 % en 1997. A moyen et long terme, la dette publique n’est pas, toutefois, la voie recommandée vu ses effets négatifs sur : (i)- l’accumulation du capital ; Algérie – Dans le cadre de la présentation du projet de règlement budgétaire pour l’exercice 2018, le ministre des Finances a présenté l’état des lieux de l’économie nationale. Pour ce qui est du Club de Londres, l’Algérie a conclu en septembre 1995 un très bon accord avec les banques commerciales sur les conditions du rééchelonnement de la dette commerciale qui a été approuvé par tous les participants en juin 1996. Concernant cette année 2020, de nombreux spécialistes estiment que le recours à l’endettement extérieur et à la planche à billets est inévitable pour faire face à la crise économique que vit l’Algérie. Pour ce qui est du Club de Paris, l’Algérie a obtenu un accord généreux en trois temps (1995, 1996 et 1997), les créanciers acceptant d’inclure les dettes contractées avant septembre 1993 – la date butoir – et un échéancier de remboursement progressif sur 15 ans avec une courte période de grâce de 2 ans (par rapport aux conditions standard du Club de Paris de 10 ans avec 5 ans de grâce). Le boom pétrolier a donné l’occasion au pays de reprendre le contrôle de la dette extérieure et de devenir même un temps préteur net. La comparaison avec le Maroc et la Tunisie permet de constater que la dette algérienne est la moins élevée de la région. (iv)- l’inefficience des dépenses en capital ; Il est donc important pour un pays emprunteur : 1- Définir une politique d’endettement en cohérence avec les politiques macroéconomiques qui sous-tendent sa stratégie de développement à moyen et long termes ; Les emprunts intérieurs sont devenus, non par choix délibéré mais sous la pression des événements, la source unique de financement dans le sillage du choc pétrolier de 2014. A mobiliser. Bien entendu, le gros de la dette algérienne est accaparé par la dette intérieure publique (50.8 % du PIB en 2020, 45 % en 2019). L’Algérie pourrait se trouver en faillite, à cause de la baisse des revenus des hydrocarbures dont les prix, faut-il le rappeler, sont au plus bas. La Banque mondiale a relevé une nette hausse de la dette publique en Algérie. La dette va atteindre 68,2% du PIB en 2020, 77,4% en 2021 et 81,2% en 2022, selon la banque mondiale. Elle se sont établies à 100 milliards de dollars en novembre 2017, a indiqué dimanche à l’APS le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, en marge de sa présentation du projet de loi de finances 2018 au Conseil de la nation. Chaque seconde, la population du pays Algérie varie de +0,03 humains Chaque jour, la population du pays Algérie varie de +2 299,26 humains En 2018 la population du pays Algérie était estimée selon l'ONU et la Banque Mondiale de 42 228 429 habitants. La dette publique de l’Algérie a augmenté de 5,8 points de pourcentage, passant de 45,6% du produit intérieur brut (PIB) en 2019 à 51,4% en 2020. La dette extérieure publique est à 0,6% du PIB. En effet, en 2020, les recettes globales du budget de l’Etat passeront à 6.200,3 milliards DA … Les crânes de 24 résistants à l’invasion française du 19 e siècle en Algérie y sont revenus le 4 juillet. Nous avons pour vocation d’informer les décideurs économiques, les cadres et dirigeants d’entreprises sur leur environnement national et international ... Grève des travailleurs de la SNVI : Le complexe industriel à l’arrêt depuis deux jours, Ahmed Nait El Hocine : « Il y aura un durcissement des sanctions pour les délits routiers », Trafic routier : Lancement de la réalisation de deux autoroutes à Alger, Voitures électriques : une première borne de recharge bientôt installée à Alger, Front social et syndical : Le gouvernement réagit, https://www.algerie-eco.com/wp-content/uploads/2017/06/banniere-07b-1.mp4. Sur cette tendance, en l’absence de toutes réformes pour reprendre le contrôle des finances publiques, les contours d’une crise de l’endettement intérieur se dessinent de plus en plus clairement et peuvent aussi générer une crise bancaire. L’Algérie a en outre développé une importante coopération sécuritaire avec les États-Unis, comme l’illustre la visite à Alger du secrétaire à la Défense Mark Esper le 1er octobre 2020. La dette intérieure publique de la Tunisie a représenté 27,9 % du PIB en 2020, contre 22,3 % en 2019. L’Algérie a principalement importé des céréales depuis la France, à hauteur de 616 millions d’euros en 2017. L’institution de Bretton Woods a indiqué que les dépenses publiques réelles ont depuis stagné et le rythme de croissance des secteurs hors hydrocarbures s’est ralenti, soulignant qu’au milieu des mesures de confinement de la COVID-19 et d’une contraction de la production d’hydrocarbures, le PIB réel devrait s’être contracté de 5,5% en 2020. La dette va atteindre 68,2% du PIB en 2020, 77,4% en 2021 et 81,2% en 2022, selon la banque mondiale. Évolutions macroéconomiques et financières récentes La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur l’économie algérienne en 2020. Cette statistique indique la dette nationale brute de l'Algérie par rapport au produit intérieur brut (PIB) de 2014 à 2018, avec des projections jusqu'en 2024. La montée de la dette intérieure depuis 5 ans est un autre signe de l’absence de stratégie d’endettement. L'Algérie a annoncé qu'elle annulait la dette de dix pays africains. En effet, d’ici la fin de l’année en cours, le déficit budgétaire va dépasser les 15 milliards de dollars !