La poursuite du programme nucléaire iranien fait courir un risque de course à l'armement nucléaire au Moyen-Orient[43]. En 2010, un ver informatique surnommée Stuxnet qui aurait été conçu[45] par la NSA en collaboration avec l'unité 8200 s'attaque[46] aux centrifugeuses iraniennes d’enrichissement d'uranium. Le 11 avril 2006, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad annonce que l'Iran a enrichi avec succès de l'uranium. Suite de la récente réunion à Vienne des participants à l’accord nucléaire iranien de 2015, il y a eu un regain d’optimisme quant aux perspectives du respect mutuel de l’accord. D'après la porte-parole de l'AIEA Melissa Fleming, les inspecteurs de l'AIEA ont visité les mines d'uranium iraniennes en 1992. Deux documents en particulier, datés du 22 avril 1975 et du 20 avril 1976, montrent que les États-Unis et l'Iran ont tenu des négociations pour une coopération sur l'utilisation de l'énergie nucléaire. Et nous avons la possibilité de développer une industrie nucléaire, et on nous dit que nous ne sommes pas assez bons ou que nous ne pouvons pas ». Après 1979, une autre réaction à la révolution iranienne fut le refus de la France de fournir de l'uranium enrichi à l'Iran. Ce climat international tendu ainsi que la guerre entre l'Iran et l'Irak (septembre 1980-août 1988) font que le programme de coopération nucléaire sera largement gelé pendant la période de la guerre[11]. L’accord d’une durée de trois mois permet de maintenir une surveillance du nucléaire iranien, tout en laissant un peu de temps pour la reprise des pourparlers diplomatiques Cette requête a été rejetée quatre jours plus tard. Ces archives d'une demie tonne, auraient été subtilisées par des agents du Mossad à Téhéran[49]. Les États-Unis étaient aussi rémunérés pour livrer du combustible nucléaire à l'Iran en accord avec un contrat signé avant la révolution. Finalement, un accord pour régler le contentieux Eurodif fut trouvé en 1991. La construction des deux unités de production d'électricité de 1 196 MW est sous-traitée à ThyssenKrupp et aurait dû être finie en 1981. En mars 1974, le Shah Mohammad Reza Pahlavi avait la vision d'une époque pendant laquelle les réserves de pétrole du monde se tariraient et déclara : « le pétrole est un matériau noble, bien trop valeureux pour le brûler… Nous envisageons de produire, aussi tôt que possible, 23 000 mégawatts d'électricité en utilisant des centrales nucléaires »[5]. Jusqu'au changement d'administration en 1977, Dick Cheney, qui fut plus tard secrétaire de la Défense des États-Unis de 1989 à 1993, puis vice-président des États-Unis de 2001 à 2009, Donald Rumsfeld, qui fut plus tard Secrétaire de la Défense des États-Unis de 2001 à 2006, et Paul Wolfowitz, qui fut son Secrétaire Adjoint de la Défense, de 2001 à 2005, qui sont aujourd'hui parmi les plus féroces opposants au programme nucléaire iranien, étaient tous très impliqués dans la promotion d'un programme nucléaire iranien qui pourrait permettre d'extraire du plutonium du combustible usé des réacteurs nucléaires afin de l'utiliser dans des armes nucléaires[réf. L'Iran y construisait une usine produisant de l'eau lourde et le réacteur à eau lourde IR-40 qui devait être prêt début 2014. En 1995, des exilés iraniens vivant en Europe déclarent que l'Iran est en train de construire un site secret pour des armes nucléaires dans une montagne à 20 kilomètres de la ville de Chalus[69]. Nucléaire iranien: une percée pour ressusciter l’accord de 2015 Téhéran et Washington d’accord pour rédiger une feuille de route afin de sauver l’accord. Bien qu'il soit souvent dit que l'Iran avait « dissimulé » son programme d'enrichissement à l'AIEA, « en violation du Traité de non prolifération nucléaire » (TNP) jusqu'à ce qu'il soit « pris la main dans le sac » en 2002, le fait est que l'Iran n'était alors pas obligé d'informer l'Agence à propos de ces installations d'après l'accord avec l'AIEA portant sur les garde-fous qui étaient en vigueur à cette époque. Depuis septembre 2011, grâce à la mise en service de la centrale nucléaire de Bouchehr, l'énergie nucléaire contribue à la production d'électricité iranienne[3]. Le site d'enrichissement de l'uranium d'Ispahan convertit de l'uranium concentré sous la forme de yellowcake (uranium concentré sous la forme U3O8) en hexafluorure d'uranium (UF6). Le site pourrait accueillir 3000 centrifugeuses, qui viendraient s'ajouter aux 8000 du site de Natanz. Le centre de recherche pour l'énergie atomique de Bonab recherche des applications à la technologie nucléaire dans l'agriculture. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) est chargée de … L'inauguration officielle a lieu le 12 septembre 2011 en présence du ministre russe de l'Énergie Sergueï Chmatko, du directeur de l'Agence fédérale russe de l'énergie atomique Rosatom, Sergueï Kirienko, du directeur de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran Fereydoun Abbasi et du ministre iranien de l'énergie Madjid Namjou[53]. Le porte-parole a aussi dit que les réacteurs à eau légère de Bushehr « sont particulièrement adaptés à un programme militaire » ; puis a continué en disant « De plus, nous n'avons pas de preuves de la construction d'autres installations iraniennes qui seraient nécessaires pour séparer le plutonium du combustible du réacteur utilisé ». Cependant, le plan aurait permis d'accélérer le programme en fournissant des informations utiles une fois que les erreurs auraient été identifiées[19]. Il est dirigé par l'Organisation pour l'énergie atomique d'Iran (OEAI). Après la révolution de 1979, l'Iran a informé l'AIEA de ses plans pour redémarrer son programme nucléaire en utilisant du combustible produit nationalement, et en 1983, l'AIEA avait même prévu d'aider l'Iran via son programme d'assistance technique afin de produire de l'uranium enrichi. Enfin, l’accord permet des avancées concernant les questions liées au contrôle de la militarisation et à ce qu’on appelle le« canal d’acquisition », c’est à dire la procédure spécifique que l’Iran devra respecter pour acquérir des biens présentant une certaine sensibilité. En 1975, la compagnie originaire de Bonn, Kraftwerk Union AG, entreprise créée grâce à un partenariat de Siemens AG et AEG Telefunken, a signé un contrat pour 4 à 6 milliards de dollars américains afin de construire la centrale à réacteur à eau pressurisée. Dès le début de sa présidence, il décrit cet accord comme « l'un des pires que les États-Unis aient jamais signés »[32]. Il s’agit d’un accord politique : il n’est ni signé, ni ratifié mais sera endossé par une résolution du Conseil de sécurité.Qualifié d’historique par les principaux représentants de la communauté internationale, il vise à : L’accord de Vienne traite à la fois de l’accès à la matière nucléaire, de sa militarisation et de la vectorisation d’un engin nucléaire. Tout usage militaire de l'énergie nucléaire serait une violation du TNP, que l'Iran a ratifié en 1970. Malgré ce départ et la menace de sanctions économiques de la part des États-Unis envers les pays qui ne respecteraient pas l'embargo[39], les pays européens veulent continuer à respecter le JCPOA[40]. Cependant, le stockage des déchets est surveillé attentivement par l'AIEA et l'extraction du plutonium n'est pas possible tant que l'Iran reste signataire du Traité de non-prolifération nucléaire. En avril de cette même année, le département d'État américain déclare que : « nous pensons que cela prendrait au moins deux ou trois ans pour finir la construction des réacteurs de Bouchehr ». En termes de levée des sanctions économiques et financières, il s’agit de celles qu’ont adoptées l’Union européenne et les Etats-Unis, pour l’essentiel après 2010, sur une base autonome. Le site d'enrichissement d'uranium de Fordo est le dernier site construit par la république islamique. Avec les restrictions imposées par l’accord de Vienne, il faudrait au minimum un an à l’Iran, s’il décidait de se lancer dans la course vers l’arme, pour accumuler la matière nécessaire à une bombe par la voie uranium. Le 16 janvier 2020, à la suite de l'assassinat du général Soleimani en Irak, commandité par Donald Trump, Rohani a annoncé que l'Iran enrichissait à nouveau son uranium, et a déclaré que l'Iran, devant le blocage de la situation issu du départ des États-Unis, réduirait graduellement ses engagements envers l'accord nucléaire de 2015[41]. Il ne démantèlera aucun de ses sites nucléaires mais n'en construira pas non plus. L’action consulaire : missions, chiffres-clés. Avec la fondation d'une agence atomique nucléaire et le TNP mis en place, le Shah Mohammad Pahlavi avait pour projet de construire jusqu'à 23 centrales nucléaires pour l'année 2000 à travers le pays avec l'aide des États-Unis. souhaitée]. Le nucléaire iranien : Ambition militaire ou indépendance énergétique ? Mohammad Khatami l'avait habilement rappelé à ceux qui étaient tentés de l'oublier (...) Le message était limpide. En 1996, les États-Unis ont essayé, sans succès, d'empêcher la Chine de vendre à l'Iran une usine d'enrichissement de l'uranium. Si l’accord est scrupuleusement respecté, il ne sera pas possible de considérer que l’Iran est proche de l’arme nucléaire, du moins pendant 10 à 15 ans. Khatami déposa une gerbe sur les tombes de Pierre et Marie Curie, au Panthéon, le 26 octobre 1999, suscitant ce commentaire de Lorentz : « Leur potentiel atomique leur avait été fourni par la France. La puissance nucléaire iranienne est devenue une sujet politique à la fois en Iran et dans les pays occidentaux. Le porte-parole ajoute que les réacteurs à eau légère de Bouchehr « sont particulièrement adaptés à un programme militaire » ; puis continue en précisant « de plus, nous n'avons pas de preuves de la construction d'autres installations iraniennes qui seraient nécessaires pour séparer le plutonium du combustible du réacteur utilisé ». Mais l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis change brutalement la donne. En 1959 est créé le Centre de recherche nucléaire de Téhéran (CRNT), opéré par l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (OEAI). Mais la Chine se retira avant que le chantier n'ait démarré. En conséquence, le gouvernement de l'Iran a suspendu ses paiements et a essayé de renégocier le prêt en faisant pression sur la France, notamment en supportant des groupes de résistance arabe, dont le Hezbollah qui avait pris des citoyens français en otages dans les années 1980. L'uranium enrichi à 20 % ne possède aucun potentiel militaire, il n'acquiert ce potentiel qu'enrichi à plus de 90 %[66]. Fin novembre, un accord préliminaire est trouvé entre Téhéran et le groupe des 5+1 (États-Unis, Royaume-Uni, France, Chine, Russie et Allemagne), qui prévoit notamment que l'Iran n'enrichisse pas d'uranium à plus de 5 % pendant six mois, dilue la moitié de ses stocks actuels, suspende les usines de Natanz, Fordow et Arak sans construire de nouveaux sites d'enrichissement, alors que l'AIEA aura désormais un accès quotidien et sans préavis à Natanz et Fordow. Chacune de ces nations a développé une capacité nucléaire militaire nationale : Israël en 1967, l'Inde en 1974 et le Pakistan en 1990. Les réacteurs de Bushehr ont ensuite été endommagés par les multiples frappes aériennes irakiennes entre le 24 mars 1984 et 1988; et le travail sur le programme nucléaire s'est arrêté. La société française nationalisée Cogéma et le gouvernement iranien ont alors fondé la Sofidif (Société franco-iranienne pour l’enrichissement de l’uranium par diffusion gazeuse), possédant respectivement 60 % et 40 % des parts. La compagnie française Framatome, filiale de Areva, s'est elle aussi retirée. Le marché ici est presque saturé, et les États-Unis couvrent la plupart du reste de l'Europe, nous devons donc nous concentrer sur le Tiers-monde ». une limitation du programme nucléaire iranien pendant au moins une décennie Le projet de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran vise à équiper la centrale d'un réacteur nucléaire à eau pressurisée d'une puissance de 360 MW, construit par l'Iran, dont la mise en service est prévue en 2017. L'Allemagne fut aussi rétribuée par des milliards de dollars pour les deux installations nucléaires de Bushehr, mais après trois décennies, l'Allemagne a refusé à la fois d'exporter les équipements nécessaires et de rendre l'argent[10]. Donald Trump décide de rétablir unilatéralement des sanctions économiques. L’AIEA peut dans ce cadre demander à accéder à des sites militaires.Ce régime de vérification est conçu pour permettre de détecter très rapidement tout manquement de l’Iran à ses obligations. En 1976, le président américain Gerald Ford signe avec hésitation une directive offrant à Téhéran l'opportunité d'acheter et d'utiliser une installation de traitement du combustible usé, de fabrication américaine, permettant d'extraire du plutonium à partir de combustible. Le groupe E3/UE+3 (Allemagne, Chine, Etats-Unis, France, Royaume Uni, Russie) et l’Iran ont conclu le 14 juillet 2015 un accord de long terme sur le dossier nucléaire iranien.Selon les termes de cet accord, un encadrement des activités nucléaires iraniennes est prévu en contrepartie d’une levée progressive du régime de sanctions qui visent l’Iran. Les fondations du programme nucléaire iranien ont été posées pendant la guerre froide, à la fin des années 1950, sous l'égide des États-Unis et dans le cadre d'accords bilatéraux entre ceux-ci et la Dynastie Pahlavi. Ce site fut l'un des deux sites secrets dévoilés par Alireza Jafarzadeh en 2002. Les participants européens – la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne et l’UE – espèrent convaincre le régime iranien et les États-Unis de rétablir le statu quo. La Chine a aussi fourni à l'Iran le gaz nécessaire pour tester le processus d'enrichissement de l'uranium. Les engagements de l’Iran sont obligatoires : leur violation entrainera un retour automatique des sanctions. Agencies See No Move by Iran to Build a Bomb », Centre de recherche nucléaire de Nahal Soreq, Institut de physique nucléaire du Kazakhstan, Combinat minier et métallurgique de Navoï, National Iranian Oil Refining and Distribution Company, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Programme_nucléaire_de_l%27Iran&oldid=181815584, Article avec une section vide ou incomplète, Article pouvant contenir un travail inédit, Portail:Iran et monde iranien/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 1967 : le centre de recherche nucléaire de Téhéran est construit et opéré par l', 1974 : promulgation de la loi énergétique de l'Iran. A sa signature l’Accord de Vienne est considéré comme une pièce essentielle au titre de la non-prolifération nucléaire. En avril 1979, le contrat fut annulé par le gouvernement provisoire de l'Iran[56]. Le 14 juillet 2015, après vingt-et-un mois de négociations, un terrain d'entente est trouvé à Vienne (Autriche). L'équipe du président Ford a approuvé les projets iraniens qui visaient à construire une véritable filière électronucléaire, et a aussi travaillé dur pour conclure un accord de plusieurs milliards de dollars, accord qui aurait donné à Téhéran le contrôle sur de grandes quantités de plutonium et d'uranium enrichi - les deux chemins vers la bombe nucléaire. Selon l'accord bilatéral entre les deux pays approuvé par l'AIEA, la Russie doit exploiter la centrale, fournir le combustible neuf et évacuer le combustible usé pendant deux à trois ans, avant d'en donner la pleine gestion à l'Iran[54]. Quelle a été l’action de la France dans les négociations sur le nucléaire iranien ? Le Dr William O. Beeman souligne aussi le fait que la politique des États-Unis vis-à-vis du programme nucléaire iranien a beaucoup changé depuis les années 1970 : « les membres de l'équipe de la Maison Blanche, qui sont en train d'empêcher l'Iran de développer sa propre capacité nucléaire et qui refusent de retirer le sujet d'une action militaire contre l'Iran, oublient continuellement que ce sont les États-Unis qui furent la maîtresse du programme nucléaire iranien il y a 30 ans ». Kraftwerk Union avait vraiment envie de travailler avec le gouvernement iranien puisque, comme l'a dit le porte-parole Joachim Hospe en 1976, « afin d'exploiter pleinement notre capacité à faire des centrales nucléaires, nous devons gagner au moins trois contrats à l'étranger par an. Août 2012 : la centrale nucléaire de Bouchehr a atteint sa puissance nominale. En Iran, l'énergie nucléaire est considérée comme nécessaire pour une nation s'industrialisant rapidement et une population à forte croissance démographique (la population a plus que doublé en vingt ans). Elles visent les secteurs financier, de l’énergie et des transports iraniens. Contactez-nous avec ACCEO. Les fondations du programme nucléaire iranien ont été posées pendant la guerre froide, à la fin des années 1950, sous l'égide des États-Unis et dans le cadre d'accords bilatéraux entre ceux-ci et la Dynastie Pahlavi. Après la révolution iranienne en 1979, le programme a été temporairement arrêté. Après la révolution iranienne, l'Iran a informé l'AIEA de ses projets de reprendre son programme nucléaire, en utilisant du combustible nucléaire enrichi en Iran. Le chantage iranien s'est également exprimé lors de la série d'attentats en France en 1985-1986[12],[13]. La construction d'un site de fabrication de combustible nucléaire à Ardakan aurait dû être finie mi-2005. L'Iran a ratifié le traité de non-prolifération nucléaire en 1970, ce qui l'engage à ne pas fabriquer d'armes nucléaires et à ne pas chercher à s'en procurer ; cependant, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) estime que l'état actuel de ses relations avec l'Iran, caractérisé par l'absence de coopération, rend impossible la conduite d'inspections afin de s'assurer que la technologie n'est pas détournée à des fins militaires. L’accord de 2015 prévoyait une limitation de la production nucléaire de l’Iran à un usage civil pendant dix ans. Le futur Président des États-Unis Joe Biden s’est engagé à revenir dans l’Accord sur le nucléaire iranien, quitté par son prédécesseur alors même que l’Iran respectait ses engagements. La construction des deux unités de production de 1 196 MW a été sous-traitée à ThyssenKrupp et aurait dû être finie en 1981. En janvier 2006, le directeur de l'AIEA Mohamed el-Baradei préconise un programme international pour mettre en place une banque de combustible nucléaire afin de résoudre l'impasse dans lequel se trouve le programme nucléaire de l'Iran[20]. Le 8 mai 2018, les Etats-Unis se retirent de l’accord sur le programme nucléaire iranien. Le 13 avril 2006, après que la Secrétaire d'État américaine Condoleezza Rice a dit (le mercredi 12 avril 2006) que le Conseil de sécurité devait prendre des mesures fortes afin de pousser Téhéran à renoncer à son ambition nucléaire, le président Ahmadinejad a affirmé que l'Iran n'abandonnerait pas l'enrichissement de l'uranium et que le monde devrait considérer l'Iran comme une puissance nucléaire, en ajoutant : « notre réponse à ceux qui sont mécontents que l'Iran réussisse à maîtriser complètement le cycle du combustible nucléaire se résume à une seule phrase. Néanmoins, l'Argentine continue à fournir de l'uranium faiblement enrichi à l'Iran, qui attend 1996 avant de déclarer qu'il prendra des mesures légales pour rupture illégale de contrat[15]. Khatami s'entretint avec le président Jacques Chirac, le premier ministre Lionel Jospin refusant de le recevoir[17]. Ardeshir Zahedi, qui avait fait signer le TNP à l'Iran sous la dynastie Pahlavi, a cependant exprimé son soutien au programme nucléaire de l'Iran dans une interview en mai 2006, le décrivant comme un « droit inaliénable de l'Iran »[42]. Leur annulation a eu lieu après avoir la certitude que le gouvernement iranien terminerait unilatéralement le contrat d'eux-mêmes, suivant la révolution qui a paralysé l'économie de l'Iran et a mené à une crise dans les relations de l'Iran avec l'occident. En 1975, la compagnie originaire de Bonn, Kraftwerk Union AG, entreprise créée grâce à un partenariat de Siemens AG et AEG Telefunken, signe un contrat pour 4 à 6 milliards de dollars afin de construire une centrale disposant de deux réacteurs à eau pressurisée. Début de la coopération entre l'Iran et les États-Unis dans les années 1950-1960, Coopération entre l'État impérial d'Iran et les États-Unis dans les années 1970, Le Joint Comprehensive Plan of Action: l'accord de 2015, La puissance nucléaire en tant que sujet politique, L'aspect légal du programme nucléaire iranien : Le traité de non-prolifération. […] D'un autre côté, le président argentin, 1984 : malgré l'opposition de l'ayatollah, 1989 : la loi sur la protection contre les radiations est ratifiée en session publique le 9 avril 1989 par le, 1990 : l'Iran commence les négociations avec l', Janvier 1995 : l'Iran signe un contrat de 800 millions de US$ avec le ministère russe de l'énergie atomique(MinAtom) afin de finir les réacteurs de Bushehr sous le regard de l'. Le 14 avril 2006, l'Institut pour la science et la sécurité internationale (ISIS) a publié une série de photos satellites analysée des installations nucléaires iraniennes à Natanz et Ispahan[23]. C'est une usine pilote pour la séparation des isotopes. Kraftwerk Union, la coentreprise de Siemens AG et d'AEG Telefunken qui avait signé un contrat avec l'Iran en 1975, s'est complètement retirée du projet de la centrale nucléaire de Bushehr en juillet 1979, après que le travail a été arrêté en janvier 1979, avec un réacteur à moitié fini et l'autre fini à 85 %. Cependant, ils ont nié toute responsabilité pendant leur procès. Bushehr serait la première centrale, et fournirait de l'énergie à la ville de Shiraz située plus dans les terres. Accord nucléaire iranien: quels changements en Iran? Le Chah Mohammad Reza Pahlavi régnait sur l'Iran à cette époque, et après la chute de Mohammad Mossadegh encouragée par la CIA en 1953, le régime apparaiss… Sur ces photos, on peut voir un nouveau tunnel d'entrée dans l'installation de conversion d'uranium à Esfahan, et une construction continue au site d'enrichissement de Natanz. ACCORD SUR LE NUCLEAIRE IRANIEN VIENNE – 14 JUILLET 2015 Le groupe E3/UE+3 et l’Iran ont conclu le 14 juillet 2015 un accord de long terme sur le dossier nucléaire iranien. En 1975, le secrétaire d’État américain, Henry Kissinger, signe le document National Security Decision Memorandum 292 (Mémo 292 de décision pour la Sécurité nationale) intitulé « Coopération U.S.-Iran », qui décrit les détails de la vente d'équipements nucléaires devant rapporter plus de 6 millions de dollars aux compagnies américaines. Mais, en raison de la Résolution 1737 du Conseil de sécurité des Nations unies (23 décembre 2006), qui gèle les avoirs de l'Organisation Iranienne à l'Énergie Atomique, les fonds dus sont actuellement bloqués[14]. Son but premier était de fournir à l'Iran des plans falsifiés permettant de construire une arme nucléaire, afin de retarder le soi-disant programme nucléaire militaire iranien. En 1986, Georges Besse, le manager d'Eurodif, fut assassiné ; la responsabilité de l'acte fut acceptée par Action directe. La dernière modification de cette page a été faite le 12 avril 2021 à 05:44. Le site souterrain controversé de Fordo ne doit plus accueillir de nouvelles matières fissiles. Après avoir promis de « démanteler » l'accord malgré l'opposition des autres pays signataires[33], et en dépit de la campagne du président français Emmanuel Macron pour convaincre les différents acteurs de défendre l'accord[34], de l'opposition de John Kerry[35] et des protestations du gouvernement iranien soutenu par la Russie et la Chine[36], Trump annonce que les États-Unis quittent l'accord et vont rétablir l'embargo économique[37],[38]. Le directeur général de l'AIEA Mohamed ElBaradei a visité le site le 21 février 2003 et a rapporté que 160 centrifugeuses étaient complètes et prêtes à fonctionner, 1000 autres étant en cours de construction sur le site[67]. En effet, la combustion de ressources fossiles en grandes quantités atteint dramatiquement les ressources de l'Iran. En 1995, l'Iran signe un contrat avec la Russie afin de compléter le travail sur la centrale partiellement construite de Bouchehr, installant dans le bâtiment existant Bushehr I un réacteur à eau pressurisée de type VVER-1000 de 915 MW, travaux dont la fin est prévue en 2007. Le but de l'AIEA était de « contribuer à la formation d'une expertise locale et de la main-d'œuvre nécessaire pour soutenir un programme ambitieux dans le domaine de la technologie des réacteurs nucléaires et du cycle du combustible », selon son rapport. L'accord était écrit en vue de parvenir à maîtriser le « cycle complet de l'atome », avec tous les risques en termes de prolifération que cela pourrait engendrer. Et cela rend une partie du peuple iranien furieux - pas seulement le clergé au pouvoir, mais aussi des gens de la rue, dont certains jeunes de 16-17 ans. En 1984, Kraftwerk Union a fait une déclaration préliminaire afin de voir si elle pourrait conclure le travail sur le projet, mais a finalement décliné de le faire tant que la guerre Iran-Irak continuait. INTERNATIONAL - C'est historique.
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